Mortier réfractaire

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Mortier réfractaire

Description du produit

Utiliser un mortier réfractaire haute température adapté à la composition chimique de la brique et à son profil de service. Pour les joints de maçonnerie dans les fours et les forges, choisir un mortier adapté au type de brique (mortier à haute teneur en alumine pour les briques à haute teneur en alumine, mortier d'argile réfractaire pour les briques d'argile réfractaire, mortier de silice pour les briques de silice). Ne jamais utiliser de ciment réfractaire à prise mince pour une surface de pare-flammes ; lorsqu'un revêtement réfractaire continu ou un pare-flammes est nécessaire, choisir un matériau réfractaire coulable ou un matériau coulable thermodurcissable conçu pour un contact direct avec les flammes. Un mélange approprié, le contrôle de l'épaisseur des joints, le séchage et le durcissement à la chaleur sont essentiels pour éviter la fissuration précoce, l'écaillage ou l'attaque chimique. Des vêtements de protection, une ventilation correcte et une manipulation mesurée prolongeront la durée de vie et réduiront les risques.

1. Qu'est-ce que le mortier réfractaire ?

Le mortier réfractaire est un adhésif spécial à base de ciment conçu pour les applications à haute température, utilisé pour coller les briques réfractaires dans les foyers, les poêles à bois, les fours à pizza, les fours et les cheminées, protégeant les structures des températures extrêmes (souvent plus de 2000°F) en fournissant des joints solides et résistants à la chaleur et des surfaces intérieures lisses. Il est disponible sous forme de mélanges secs pré-mélangés (il suffit d'ajouter de l'eau) ou prêts à l'emploi, souvent composés d'argile réfractaire, de sable siliceux et de ciments résistants à la chaleur, avec des types tels que le durcissement à l'air ou le durcissement à la chaleur pour répondre à différents besoins.

Mortier réfractaire
Mortier réfractaire

Pour la construction ou la réparation en maçonnerie des revêtements de fours et de forges, utiliser un mortier formulé pour la même famille de réfractaires que les briques. Lorsqu'un contact direct avec les flammes ou un revêtement monolithique est nécessaire, utiliser un matériau réfractaire coulable correctement polymérisé et adapté à la température de fonctionnement. Appliquer les joints à l'épaisseur recommandée, contrôler lentement l'élimination de l'humidité et procéder à une montée en température progressive pendant la première cuisson. Ces étapes préservent la force d'adhérence, réduisent le risque de choc thermique et maintiennent le revêtement intact pendant le service.

2. Types et utilisations

Mortier réfractaire : Mélange destiné à lier les briques réfractaires et la maçonnerie, créant ainsi une structure solide.

Ciment réfractaire/coulable : Utilisé comme liant ou revêtement de surface sur la fibre céramique (comme Kaowool) pour la sceller, éviter les fumées et améliorer l'isolation.

Résistance élevée à la chaleur : Gère des températures allant de 2 000°F à 3 000°F ou plus.

Collage et scellement : Joindre les briques réfractaires et sceller les interstices afin d'arrêter les pertes de chaleur.

Sécurité : Scelle la laine céramique pour éviter l'inhalation de fibres toxiques.

3. Principes fondamentaux des mortiers réfractaires : composition et fonction

3.1 Fonction

Le rôle principal du mortier réfractaire est de lier les éléments de maçonnerie réfractaire et de sceller les joints de manière à ce que le transfert de chaleur, la pénétration de produits chimiques et les mouvements mécaniques s'effectuent sans dommages prématurés. Le mortier doit tolérer la dilatation thermique, les charges mécaniques, l'exposition aux produits chimiques et les cycles de chaleur répétés.

3.2 Composition de base

Les composants typiques sont les suivants :

  • Agrégats réfractaires fins (argile réfractaire pulvérisée, alumine, silice, magnésie)

  • Un liant (liants hydrauliques, liants phosphatés ou silicate de sodium pour certains mélanges)

  • Additifs optionnels pour l'ouvrabilité, la stabilité des boues ou l'amélioration de l'adhérence

3.3 Types de réglages

Il existe deux grandes familles :

  • Mortiers à durcissement à l'air qui durcissent par séchage ou par un liant chimique à température ambiante

  • Mortiers thermodurcissables qui n'acquièrent leurs pleines propriétés réfractaires qu'après exposition à une température élevée

Il est essentiel de comprendre à quel groupe appartient un produit pour assurer un séchage correct, un comportement au premier feu et une résistance ultime.

4. Principales familles de mortiers et règles de sélection

Vous trouverez ci-dessous un guide pratique sur les familles de mortiers et le moment opportun pour choisir chacune d'entre elles.

4.1 Mortier d'argile réfractaire

  • Composition : forte proportion d'argiles aluminosilicatées avec une teneur modérée en alumine.

  • Utilisations typiques : revêtements de four à usage général, fours à bois, maçonnerie cuite à basse température.

  • Points forts : rentable, tolérant lors de l'installation

  • Limites : réfractarité inférieure à celle des mortiers à haute teneur en alumine

4.2 Mortier à haute teneur en alumine

  • Composition : alumine élevée (typiquement 40% à 80% Al2O3)

  • Utilisations typiques : fours à verre, zones de fours à haute température, joints de revêtement métallurgiques.

  • Points forts : plus grande résistance à chaud, résistance à l'abrasion

  • Limites : coût plus élevé ; compatibilité avec les briques à haute teneur en alumine.

4.3 Mortier de silice (quartz)

  • Composition : teneur élevée en silice ; convient aux briques de silice

  • Utilisations typiques : revêtements de fours acides et zones où des briques de silice sont utilisées.

  • Limites : faible résistance aux scories basiques ou aux environnements riches en substances caustiques.

4.4 Mortiers de magnésie et de phosphate de magnésie

  • Composition : agrégat à base de magnésie avec un liant phosphaté ou chimique.

  • Utilisations typiques : revêtements de fours de base dans les industries de l'acier et du ciment.

  • Points forts : résistance chimique aux scories basiques

  • Limites : ne convient pas aux environnements acides

4.5 Mortiers à liant phosphate

  • Composition : liant phosphaté qui permet un gain de résistance rapide à la chaleur.

  • Utilisations typiques : réparation rapide ou applications d'ancrage

  • Points forts : prise rapide après exposition à la chaleur

  • Limites : manipulation prudente en raison de la chimie

4.6 Réfractaires coulables (produits similaires au ciment)

  • Composition : agrégats réfractaires combinés à des liants hydrauliques ou autres pour former une masse coulable.

  • Utilisations typiques : revêtements monolithiques, réparations à la flamme, colmatage de grandes surfaces.

  • Points forts : capacité à former des surfaces continues, sans joints, et à être moulées à la forme.

  • Limites : nécessite un durcissement et une montée en température corrects pour éviter la formation de fissures.

Règle de sélection : associer la chimie du mortier à celle de la brique ; faire correspondre la température de travail à la température de service ; choisir le mode de réglage en fonction des conditions d'installation.

5. Caractéristiques de performance et températures nominales

5.1 Températures nominales

Les fabricants indiquent souvent des températures maximales d'utilisation continue ou des points de ramollissement spécifiques. Les produits de mortier courants pour les loisirs et l'industrie légère ont des valeurs nominales proches de 1 480 °C. Les produits coulés pour l'industrie lourde et les briques spécialisées peuvent atteindre des valeurs plus élevées en fonction de leur composition chimique. Les produits coulés pour l'industrie lourde et les briques spécialisées peuvent atteindre des valeurs plus élevées en fonction de leur composition chimique. Pour la sélection et la marge de sécurité, il convient d'utiliser le composant le moins performant du système.

5.2 Propriétés mécaniques

Les principales propriétés sont les suivantes

  • Résistance à l'écrasement à froid

  • Module d'Young et élasticité pour l'adaptation à la déformation thermique

  • Résistance au fluage à la température de fonctionnement

5.3 Propriétés thermiques

  • Le coefficient de dilatation thermique doit être compatible avec les briques afin de réduire les tensions dans les joints.

  • La conductivité thermique influe sur la rétention de la chaleur et sur les calculs d'épaisseur du revêtement.

5.4 Résistance chimique

Le mortier doit résister à l'attaque des sulfates, des alcalis, des constituants du laitier ou des atmosphères réductrices en fonction de la matière première du four ou de la forge.

5.5 Aptitude au façonnage et durée de vie en pot

Les préoccupations pratiques lors de la mise en œuvre comprennent la truellabilité, l'affaissement et le temps de travail après le mélange. Les produits destinés à être utilisés sur le terrain sont souvent accompagnés de recommandations concernant les proportions d'eau et les vitesses de malaxage pour obtenir la consistance souhaitée.

(Les caractéristiques techniques varient d'un fournisseur à l'autre ; consultez les fiches techniques des produits pour connaître les valeurs numériques exactes).

Les ouvriers utilisent du mortier réfractaire pour réparer le four.
Les ouvriers utilisent du mortier réfractaire pour réparer le four.

6. Meilleures pratiques de mise en œuvre : mélange, joints, durcissement et séchage

6.1 Principes de base du mélange

  • N'utiliser que de l'eau propre ; les ratios d'eau mesurés garantissent des propriétés constantes.

  • Mélanger suffisamment longtemps pour mouiller toutes les particules et éliminer les grumeaux, tout en évitant un excès d'air entraîné.

  • Pour les prémélanges d'usine, suivre le pourcentage d'eau recommandé par le vendeur pour les applications à la truelle, à la brosse ou par trempage. Par exemple, certains produits de ciment au four recommandent des pourcentages d'eau différents selon qu'ils sont appliqués à la truelle ou par trempage.

6.2 Conception et épaisseur des joints

  • L'épaisseur typique des joints pour le mortier réfractaire varie de 1/8 de pouce à 1/2 pouce pour la maçonnerie en briques réfractaires ; des joints plus petits sont souvent préférés pour une meilleure performance thermique.

  • Éviter un mortier trop fin dans les zones où se produisent des mouvements différentiels ; une épaisseur excessive favorise la formation de fissures de retrait.

6.3 Couche et jointoiement

  • Pour l'encastrement, beurrer les faces des briques et presser les unités en position, en éliminant l'excès de mortier.

  • Pour le jointoiement, compacter le mortier dans le joint afin d'éliminer les vides et d'obtenir un contact propre.

6.4 Séchage et chauffage initial

  • Respecter le temps de séchage ambiant dans la mesure du possible ; ne pas exposer le mortier frais à une chaleur rapide et intense.

  • La première chauffe s'effectue par paliers contrôlés : périodes de maintien à basse température suivies d'une augmentation progressive de la température de fonctionnement afin de permettre l'élimination de l'eau liée et un frittage lent.

6.5 Durcissement des matériaux coulables

  • De nombreuses matières coulables nécessitent un cycle de durcissement spécifique ; les étapes typiques comprennent le durcissement par voie humide, le temps de prise à température ambiante, puis une rampe de chaleur lente afin d'éviter l'éclatement de la vapeur et la fissuration.

6.6 Ancrage et retenue mécanique

  • Dans la mesure du possible, prévoir des ancrages mécaniques ou des sangles métalliques pour retenir les revêtements sous l'effet de charges mécaniques ou vibratoires.

Ces techniques réduisent la probabilité d'une défaillance précoce et favorisent une longue durée de vie.

7. Techniques de réparation des fours et des forges

7.1 Petites réparations de joints

  • Enlever le matériau détaché, brosser la poussière du joint, humidifier légèrement le support, appliquer le mortier correspondant, compacter et finir. Laisser sécher lentement, puis procéder à un chauffage par étapes.

7.2 Rattrapage de l'écaillage

  • Pour les épaufrures plus profondes, nettoyer jusqu'à la brique saine, sous-couper pour obtenir un profil claveté si possible, utiliser une rustine coulable ou une réparation retenue par le coffrage, durcir selon les instructions du produit.

7.3 Dommages causés par la flamme

  • Si le mortier est utilisé dans une position exposée aux flammes et qu'il se détériore rapidement, il convient d'enlever le matériau dégradé et d'appliquer un matériau réfractaire coulable spécialement conçu pour le contact direct avec les flammes, ou de le remplacer par un revêtement résistant à la chaleur conçu pour les surfaces exposées aux flammes. L'expérience communautaire montre que le ciment réfractaire ordinaire se détériore rapidement lorsqu'il est exposé à une flamme directe.

7.4 Rejointoiement des revêtements entiers

  • Pour les travaux de rejointoiement à grande échelle, il convient d'échafauder les travaux en toute sécurité, de planifier l'ordonnancement des briques afin de préserver l'intégrité structurelle et d'envisager un regarnissage partiel afin de maintenir l'exploitation lorsque cela est possible.

8. Modes de défaillance courants et prévention

8.1 Fissuration par rétraction

Cause : séchage trop rapide, épaisseur de joint trop importante ou chimie incompatible.
Prévention : contrôler l'épaisseur des joints, suivre le cycle de durcissement, utiliser des mortiers compatibles.

8.2 Attaque chimique

Cause : scories, fondants ou atmosphères agressives.
Prévention : choisir un mortier résistant aux produits chimiques (par exemple, la magnésie pour les scories basiques).

8.3 Perte d'adhérence ou décollement

Cause : mauvaise préparation de la surface ou contamination.
Prévention : nettoyer les faces des briques, humidifier selon les instructions, compacter complètement le mortier.

8.4 Défaillance due à un choc thermique

Cause : changements brusques de température ou dilatation thermique inadaptée.
Prévention : chauffage par étapes, coefficients de dilatation thermique adaptés.

9. Santé, sécurité, manipulation, stockage et déchets

9.1 Protection des personnes

  • Utilisez des gants, des lunettes de protection et un appareil respiratoire approprié lorsque vous mélangez des poudres poussiéreuses.

  • Certains liants ou additifs peuvent provoquer une irritation de la peau ; éviter le contact direct.

9.2 Contrôle des poussières

  • Mélanger dans des zones ventilées ou utiliser une extraction locale ; le mélange humide réduit les poussières en suspension dans l'air.

9.3 Stockage

  • Gardez les sacs au sec, empilés hors du béton, et faites tourner le stock pour éviter l'accumulation d'humidité.

9.4 Élimination

  • Les déchets réfractaires durcis sont inertes mais encombrants ; éliminez-les conformément aux réglementations locales. Les résidus humides contaminés doivent être traités conformément aux règles relatives aux déchets dangereux s'ils contiennent des additifs dangereux.

10. Liste de contrôle pour la sélection des produits et modèle de spécification

Utilisez la liste de contrôle ci-dessous lors de la sélection d'un produit pour un projet de four ou de forge.

Liste de contrôle de la sélection

  • Température maximale de fonctionnement

  • Chimie de la brique ou du revêtement ; chimie du mortier d'allumage

  • Type de réglage : à l'air ou à la chaleur

  • Force d'adhérence et capacité de charge mécanique requises

  • Expositions chimiques (scories, fondants, atmosphère)

  • Besoins en matière d'ouvrabilité et méthode de mélange

  • Exigences du cycle de cuisson et contraintes du premier feu

  • Assistance technique du fournisseur et fiches techniques disponibles

Modèle de cahier des charges simple

  1. Projet : four/forge nom de la zone

  2. Type de brique : par exemple, 45% Al2O3 brique à haute teneur en alumine

  3. Température de fonctionnement : X°C en continu, Y°C en pointe

  4. Produit de mortier sélectionné : nom, fabricant

  5. Épaisseur du joint : plage spécifiée

  6. Rapport de mélange : pourcentage d'eau en poids

  7. Durcissement initial : heures ambiantes, programme de rampe de chaleur

  8. Notes de sécurité : EPI et exigences en matière de ventilation

11. Tableaux comparatifs de référence rapide

Tableau 1. Comparaison rapide des familles de mortiers

Famille de mortiers Température maximale d'utilisation typique Briques les mieux adaptées Points forts Limites
Argile réfractaire ~1 400°C (variable) Brique en argile réfractaire Rentable, à usage général Résistance à chaud plus faible
Haute teneur en alumine jusqu'à 1 700 °C Brique à haute teneur en alumine Haute résistance à la chaleur, résistance à l'abrasion Coût plus élevé
Silice jusqu'à 1 600 °C Brique de silice Bon pour les environnements acides Mauvaise résistance du laitier de base
Magnésie jusqu'à 1 800 °C Brique de magnésite Résistance de base du laitier Ne convient pas aux services acides
Liés au phosphate varie Réparations rapides, ancrages Prise rapide à chaud Nécessite une polymérisation à chaud correcte
Réfractaire coulable varie considérablement Revêtements monolithiques Surfaces continues, utilisation de la flamme Nécessite un durcissement contrôlé

(Les fourchettes de température dépendent des formulations spécifiques du produit ; consulter les données du fabricant).

Tableau 2. Objectifs de mélange et durée de vie en pot typiques (exemples de fourchettes)

Méthode d'application Eau en poids (%) Temps de travail (minutes)
Mortier appliqué à la truelle 25 à 35 20 à 60
Boue de trempage 45 à 55 ans 10 à 30
Castable pour 10 à 18 (en fonction des mélanges secs et des mélanges par pompage) 30 à 90

(Les valeurs varient en fonction du produit. Les exemples de produits à base de ciment au four donnent des recommandations d'eau distinctes pour les utilisations à la truelle et au trempé).

Tableau 3. Exemple de rampe de chauffe pour le premier feu (petit four ou forge)

Stade Température cible Période d'attente
Préchauffage De la température ambiante à 100°C 2 à 6 heures (humidité de l'air)
Rampe basse 100°C à 300°C 1 heure d'attente
Rampe modérée 300°C à 500°C 1 heure d'attente
Rampe finale 500°C à la hausse par rapport à la conception Augmentations progressives avec des mises en attente

Cet exemple donne la priorité à l'élimination lente de l'humidité afin d'éviter l'expansion de la vapeur et les fissures.

12. Mythes fréquemment rencontrés, corrigés

  • Mythe : Tout ciment réfractaire peut être utilisé dans les positions face à la flamme.
    Correction : De nombreux ciments cèdent rapidement sous l'effet d'une flamme directe ; des matériaux coulables ou spécialement adaptés sont nécessaires.

  • Mythe : Un mortier plus épais améliore toujours la longévité.
    Correction : Les épaisseurs excessives peuvent se rétracter et se fissurer ; respecter les tailles de joints recommandées.

  • Mythe : Le chauffage rapide raccourcit le temps de réparation sans risque.
    Correction : Un chauffage rapide favorise l'éclatement de la vapeur et la délamination ; il est essentiel de procéder à une montée en puissance progressive.

13. Questions fréquemment posées

  1. Q : Puis-je utiliser du ciment réfractaire ordinaire pour colmater la surface intérieure d'une forge ?
    Le ciment ordinaire peut adhérer initialement mais se dégrade souvent sous l'effet direct des flammes. Utilisez un matériau réfractaire coulable conçu pour une utilisation face à la flamme ou remplacez le ciment par une brique de revêtement résistant à la flamme.

  2. Q : Quelle doit être l'épaisseur des joints de mortier pour les briques réfractaires dans un four ?
    R : Viser des joints minimaux, généralement de 1/8 de pouce à 1/2 pouce, en fonction de la tolérance de la brique. Des joints plus petits réduisent la tension thermique.

  3. Q : Quel type de mortier convient aux briques à haute teneur en alumine ?
    A : Mortier à haute teneur en alumine avec une teneur en alumine comparable. L'adéquation de la chimie réduit le décalage chimique et les contraintes thermiques.

  4. Q : Dois-je mouiller les briques avant de les recouvrir de mortier ?
    R : Une légère humidification de la surface permet souvent d'éviter que la brique n'absorbe trop rapidement l'eau du mortier. Évitez de saturer la brique.

  5. Q : Combien de temps un produit coulable doit-il durcir avant la première cuisson ?
    R : Suivre la fiche technique du produit ; les exemples typiques comprennent une cure à température ambiante pendant 24 à 72 heures, puis un chauffage échelonné. Certains produits coulables nécessitent également un durcissement par voie humide.

  6. Q : Puis-je utiliser des mortiers de liant à base de silicate de sodium pour les forges ?
    R : Certains mortiers de silicate de sodium conviennent à des températures modérées, mais peuvent ne pas résister à une exposition à des flammes très chaudes. Vérifiez la classification du produit.

  7. Q : Qu'est-ce qui fait que le mortier s'effrite ou s'écaille après la première chauffe ?
    R : fuite rapide d'humidité, incompatibilité chimique ou mauvais mélange. Une montée en température lente et un choix judicieux du produit réduisent les risques.

  8. Q : Y a-t-il une différence entre le ciment de four et le mortier réfractaire ?
    R : Oui. Le mortier est généralement utilisé pour l'assise et le jointoiement ; le ciment ou les produits coulés sont destinés aux coulées monolithiques ou aux réparations lourdes.

  9. Q : Puis-je mélanger le mortier réfractaire à la main ?
    R : Pour les petites réparations, il est courant de mélanger à la main. Pour les coulées plus importantes ou les produits coulés, il convient d'utiliser des mélangeurs mécaniques pour obtenir des performances constantes.

  10. Q : Existe-t-il des mortiers à prise rapide pour les réparations rapides ?
    R : Il existe des mortiers à liant phosphate et des produits spécifiques à prise rapide, qui gagnent souvent rapidement en résistance une fois chauffés. Il convient de les utiliser avec précaution et de respecter les consignes de sécurité du fabricant.

14. Annexe : données techniques types et exemples de recettes sur le terrain

14.1 Exemples de points de données sur les produits (conseils du fabricant)

  • Exemple : Mélange sec de ciment au four - eau de truelle recommandée 29%, eau de trempage 50% ; prévoir environ 86 lb par pied cube pour la densité.

14.2 Mélange simple de mortier d'argile réfractaire (à titre d'exemple, pour utilisateurs expérimentés uniquement)

  • 70 parties d'argile réfractaire pulvérisée

  • 30 parties de kaolin fin ou d'agrégat à haute température

  • Arroser jusqu'à obtention d'une consistance praticable à la truelle

  • Remarques : il s'agit d'une recette générale qui doit être mise au point. Pour les services critiques, utiliser un produit commercial testé et demander la fiche technique du fournisseur.


Notes finales sur la recherche et la vérification des fournisseurs

Lorsque vous choisissez des produits de mortier, demandez aux fournisseurs des fiches techniques et des conseils de compatibilité. Comparez la résistance à l'écrasement à froid, la réfractarité, l'épaisseur de joint recommandée et les instructions de cure détaillées. Si l'application est critique sur le plan de la sécurité ou industrielle, demandez des données d'essai en laboratoire et faites des maquettes à petite échelle avant de procéder à l'installation complète.

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